En France, leur service s’appelle l’Arlésienne. S’il arrive que les R.G., la Crime, la DST et la DGSE et quelques autres aient pour principal souci de ne pas porter ombrage à leurs boutiques, la poignée d’hommes appartenant à l’Arlésienne se fiche éperdument de la vitrine. Verdenne et Dax sont appelés à Metz au chevet d’une démocratie malade de ses libertés. Une bombe éclate, FIS ou provocation du F.L.N. ? Que vient faire le plutonium dans cette histoire ? Qui veut faire peur à qui ? Une enquête qui débute à Moscou, se poursuit à Metz, fait un détour à Paris et trouve son épilogue provisoire dans les Alpes. Au nom du FIS reflète l’incohérence des hommes. Heureusement il y a l’humour, « la politesse du désespoir », comme dirait le poète. Les tribulations des protagonistes de « Fréquences meurtres à La Clusaz »
Détails du livre
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Éditeur
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Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
233 -
Thème